Camellia, surnommée aussi Millia, est née en Espagne le 25 mai 1992 d'un père espagnol, Andres Acosta Ponce, et d'une mère italienne, Lucrezia Delarco. Après quelques études pour devenir Libraire, elle décide de retourner en Italie pour y travailler. Enchaînant d'abord les petits boulots, pour finalement se faire embaucher par Lorenzo Leone pour s'occuper de sa librairie.

• Quand elle était petite, elle a reçu des cours de flamenco mais les a arrêté immédiatement. Préférant regarder les gens danser que le faire.
• Elle aime les livres depuis toute petite, et adore passer ses après-midi sous le soleil à en lire.
• Juste baptisée, elle ne s'est jamais vraiment impliquée dans sa religion.
• Malgré elle, à cause de son père, elle s'est toujours retrouvée à regarder les matchs de foot avec lui.
• Elle croit que les vampires et toutes créatures dont elle a entendu parler n'existent que dans les livres.
• À son arrivée en Italie, elle a refusé gentiment de se faire loger par sa famille voulant voler de ses propres ailes mais reste quand même souvent en contact avec eux et ces derniers sont toujours là en cas de problème.
• Elle est capable de traiter son patron -pour rire- de vampire ou de créature de la nuit, sans vraiment se douter que c'est la réalité, parce qu'elle ne le voit presque jamais à la boutique si ce n'est le soir ou au petit matin.
• Chaque samedi matin, elle va faire son marché pour compléter sa bibliothèque déjà pleine avant d'aller à son travail.
• Elle habite dans un appartement dans Trastevere, et le rangement n'étant pas son fort, un bazar un peu impressionnant y règne.
• Elle se sert de n'importe quoi comme marque-page.
• Elle saute sur la moindre promotion qu'elle obtient.
• Il lui arrive d'avoir du mal à finir les mois.
• Elle est allergique au pollen mais adore les fleurs, surtout les azalées.
• Elle est excessivement frileuse et se recouvre souvent de pulls à l'approche de l'hiver.
• Elle a tendance à remplir d'autres petites courses pour son patron par gentillesse ou pour une prime.
• Elle compte minutieusement ses heures en plus pour en faire part à son patron à la fin du mois mais en enlève toujours une ou deux.
• Quand elle est en colère ou en proie en un dilemme assez grand, elle a tendance à perdre les mots et parle en espagnol. Il lui arrive de mettre des mots en espagnol et en italien dans la même phrase quand elle se retrouve dans cet état.

• (M/F) El cliente : parce que tout vendeur à son client préféré ! En effet, la demoiselle apprécie beaucoup ce/cette client(e) qui remplit des cartes de fidélités à la chaîne, entraîné(e) lui/elle aussi par la passion des livres. Elle ne peut s'empêcher de lui sourire beaucoup plus qu'aux autres car il/elle est comme une compagnie pour Camellia lors de ses longues journées à la librairie. Elle sait qu'ils se verront sûrement dans la semaine et ça la rend tout joyeuse.

• (M/F) El amigo del mercado : ils se retrouvent chaque samedi ou presque au marché pour diverses raisons. Personne qu'elle apprécie pour sa compagnie qui ne la fait sourire que plus, Camellia peut tout autant rire avec que se disputait pour défendre son avis. Mais ça finit toujours bien.

• (M/F) El vecino : Camellia les aperçoit quelque fois. Souvent leur adressant un "bonjour", un signe de la main, ou un sourire. Certains sont des plus agréables tandis que d'autres l'énervent au point qu'elle refuse de leur parler une seconde de plus.

• (M/F) El antiguo colega : Ils ont travaillé ensemble à un moment tandis que Camellia enchaînait les petits boulots. Ils se sont perdus de vue ou non. Ils se rendent quelques fois des services sachant à quel point c'est dur de finir le mois.

• (M/F) "¡ Cállate !" : Lorsqu'elle se retrouve face à cette personne, Camellia a du mal à sourire et marmonne souvent dans sa barde des injures en espagnol quand elle l'énerve trop jusqu'à l'explosion où la jeune femme peut venir à lui crier les quatre vérités.

Lilihir © 2014
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